Un petit plus à Languidic

Un petit plus à Languidic

2016– LANGUIDIC – Morbihan

Extension d’une habitation individuelle

Mission partielle

Durée prévisionnelle des travaux : 4 mois

Durée de l’opération : 15 mois

 

Adossé à une colline est implanté cette longère. Entièrement rénovée en 2002 par les propriétaires, il lui manquait les locaux techniques.

La surface de plancher étant supérieure à 150 m2, un architecte leur était indispensable.

Le projet a consisté en une extension sur la chaufferie existante pour la création des locaux techniques tel que la buanderie, la chaufferie, espace de rangement.

Situé dans un secteur protégé par la présence d’une chapelle à proximité, il a été décidé de faire une demande préalable avant la dépose du permis.

A la suite, nous avons déposé une demande de permis de construire qui a été délivrée en octobre 2016.

S’agissant d’une ossature en bois avec bardage, les clients ont réalisés les travaux eux-mêmes.

 

Il n’y a pas de petit projet.

Extension à Arradon

2015– Arradon – Morbihan

Extension d’une habitation individuelle

Durée des travaux : non précisé

Durée de l’opération : 3 mois

 

Au centre d’un quartier résidentiel, les nouveaux acquéreurs avaient besoin de légère modification intérieure et d’une chambre supplémentaire.

Notre mission fut de concevoir leur projet et de déposer un permis de construire sans maitrise d’œuvre.

Dont acte.

Saint-Julien

 2004– Genève – Suisse

 Immeuble résidentiel de 1935

Rénovation lourde

Durée des travaux : en cours

Durée de l’opération :  6 mois

 

En 2003, La société IIL fait l’acquisition de cet immeuble résidentiel locatif avec pour objectif l’aménagement des combles pour la création de 3 logements, le remplacement des menuiseries extérieures et la transformation des balcons sur rue en espace tampon acoustique et thermique par la pose de panneaux vitrés.

Les contraintes de ce projet tiennent essentiellement, coté Sud, aux passages du tramway et du trafic routier important. Coté Nord, deux arbres prennent l’essentiel du petit terrain disponible, de fait, il n’est pas possible créer de place de stationnement. Les combles, quant à elle, sont parsemés de gaines techniques qu’il faut conserver.

Il faut donc considérer que les travaux auront une emprise sur un espace public restreint et que la création des logements en attiques devra s’appuyer sur les murs porteurs existants sans apporter une surcharge. L’option retenue consiste en une ossature métallique préfabriquée avec toit plat végétalisé dont l’aspect architectural s’intègre avec le tissu urbain existant. Ainsi, il est possible de proposer des logements en duplex, traversant avec une vue exceptionnelle sur la ville.

La demande de permis de construire fut bloquée durant 2 ans pour cause de réaffectation de zone du quartier. Entre-temps, l’atelier Upbdp a déménagé en France et notre mission s’est arrêtée. Heureusement, la société IIL a continué la démarche, le chantier est en cours.

 

Saconnex d’Arve

2005 – Genève – Suisse

Habitation rurale répertoriée CMNS

Extension intérieure extérieure

Durée des travaux : 7 mois

Durée de l’opération :  26 mois

 

Anciennement, cette bâtisse était le hangar à carrosses d’un domaine napoléonien du 19e siècle. En 1998, le propriétaire l’avait transformé en une habitation sur 2 niveaux avec 2 chambres à l’étage reliées par une passerelle suspendue. La CMNS avait insisté pour conserver l’expression du hangar. A cet effet, de larges baies vitrées furent posées. Malheureusement, l’orientation de celles-ci étaient plein nord et l’intimité de la maison s’offrait de visu depuis toutes les autres propriétés.

Cabane de jardin

Comment insérer un cabanon de 5 m2 pour le matériel de jardin dans un coin de terrain parsemé d’arbres, en limite de propriété, contre un mur, avec une contrainte de matière et d’aspect satisfaisant pour la CMNS ? Tel était le cahier des charges de ce projet.

L’enjeu était la conception d’un volume parfaitement intégré, au point de croire qu’il était présent depuis toujours. Le plan a l’expression, au sol, d’une maison à 2 pans en miroir du mur.  Les parois en cèdre sont posées à clin. Un toit unique en cuivre étamé reprend la pente de l’arase du mur.

Extension

La famille s’agrandissant, le client nous mandata pour réaliser une extension sur jardin afin de créer un espace de jeux intérieur pour ses enfants. Ce volume avait aussi pour but de se protéger de la vue dominante du massif corps de ferme adjacent.   Cet espace situé en limite de propriété s’ouvre largement sur le jardin et se connecte sur l’existant par une des baies vitrées. Son toit plat est complété par un bassin végétal qui participe à l’intimité de la maison.

Alcôve

L’unique chambre ne suffisant plus pour les deux enfants, nous avons étudié une séparation du volume en recherchant la plus grande équité de surface, d’usage et de lumière. La création d’une mezzanine ne suffisant pas, Il fut décidé de créer une alcôve pour le lit sur le vide d’étage. Celle-ci serait suspendue à la charpente par une fine lame d’acier. Cette boite, laquée comme un précieux écrin, s’accrocherait sur le montant central de la baie vitrée.

Grenier

Dans la continuité conceptuelle de l’alcôve, il fallait imaginer un espace de rangement pour Madame. Celui-ci trouva sa place sous le rampant du toit, perché comme un nuage, zébré de raies lumineuses. Cette fois la lame d’acier soutient le plancher, Un minuscule escalier en U permet d’accéder à cette penderie.

Mobilier

Durant ces interventions, il nous a été demandé de réaliser quelques meubles complémentaires : une bibliothèque basse et haute en remplacement du garde-corps contre l’escalier ; à son opposé, dans l’espace concave de la mezzanine, un bureau, dont la forme s’inscrit dans cet arc ; enfin, dans l’espace cheminée, un meuble pour télévision en zinc vient compléter le tableau.

Mam’s House

Novembre 1998 – Bouc-Bel-Air – Bouches-du-Rhône

SHOB 200 m2 – Parcelle 2’132 m2

 

Ma chère mère souhaitant s’installer au soleil, proche de sa famille, trouva dans un lotissement une habitation individuelle construite dans les années 70’ sur un terrain de plus de 2’000 m2. Celle-ci n’avait que pour seul intérêt son enveloppe, murs et toitures, et une piscine en béton. Tout le reste était à reprendre. Les locaux existants étaient desservis par un couloir sans lumière affublé de nombreuses portes. L’accès à l’unique pièce de l’étage passait par un escalier de type échelle de meunier.

Pourtant, l’orientation, les perspectives, la possible densification des surfaces habitables et la végétation laissaient entrevoir une transformation qui correspondait un programme attendu.

Le projet a consisté en la création d’un espace ouvert en rez-de-chaussée comprenant bureau, salon, salle à manger, cuisine, jardin d’hiver et atelier de peinture. Ne furent conservé que la chambre de plain-pied et sa pièce d’eau. Ce plan, presque libre, dont les murs porteurs sont percés de toutes part, reçu un escalier sur mesure afin d’accéder aux trois chambres de l’étage et à la salle d’eau supplémentaire. Les terrasses existantes furent reprises et une nouvelle créée au premier étage. La cliente a souhaité gérer seule les teintes en façades.

Une allée centrale traverse la maison et relie les différentes zones d’activité : jardin, piscine, terrasse Est, escalier intérieur, atelier et terrasse Ouest. Une grande partie de la végétation fut supprimée au profit des perspectives proches et lointaines.

Quelques années plus tard, cette bâtisse sera complétée par un garage indépendant et fermé.