De la question de la dualité

Au détour d’une promenade en forêt, je tombe sur un mur. Un enclos ceinturant une abbaye.

Des centaines de mètres d’une verticalité bâtie en couches horizontales, le tout minéral, face à l’apparent désordre naturel de la végétation, le tout organique.

En trait d’union, une bande herbeuse, le plan de référence face à l’infini impalpable de l’air.

Et que dire du caché (derrière le mur) et de l’affiché, le mur ?

Lorsqu’elles sont maitrisées, les dualités sont des révélatrices d’émotions.